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Ces petites merveilles qui nous entourent

Ces petites merveilles qui nous entourent

Nature en Auvergne et astronomie.

pattes

Publié le par Micromick
Publié dans : #araignee, #courge, #femelle, #palpes, #pattes

A l'affût dans les lilas

Microscopique, son abdomen mesure environs 2 mm

 

A l'affût dans les lilas

Aussi appelée Araignée courge,

 

A l'affût dans les lilas

Araignée concombre,

 

A l'affût dans les lilas

Araignée citrouille,

 

A l'affût dans les lilas

De quoi faire une bonne ratatouille... 

 

A l'affût dans les lilas

On reconnaît le mâle mature par la présence d’une paire de PALPES MODIFIÉS en une structure complexe semblable à de petits gants de boxe, situées en avant des 4 paires de pattes.

 

A l'affût dans les lilas

Pour la femelle, les palpes sont présents, mais ne sont pas modifiés.

Les palpes des femelles ressemblent à des petites pattes semblables aux autres pattes.

Voir ICI une femelle 

 

A l'affût dans les lilas

 

Sa toile, géométrique mais de forme irrégulière, a une dizaine de centimètres de diamètre. 

Elle comporte entre 15 et 30 rayons. L'araignée se tient généralement au milieu dans l'attente d'une proie. 

 

Bonne chasse monsieur Araniella.

 

Restez prudents

 

 

 

 

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Publié le par Micromick
Publié dans : #insecte, #Mante, #pattes, #proie, #religieuse

La mante religieuse est un insecte diurne de 5 à 8 centimètres de long.

Les deux sexes sont aptes au vol ; néanmoins, la femelle alourdie à l'approche de la ponte ne peut se déplacer que grâce à ses pattes postérieures qualifiées de déambulatoires. Le mâle est plus petit que la femelle de 2 ou 3 cm mais son caractère très fluet donne souvent l'impression d'une disparité allant du simple au double. Ses antennes sont plus longues, son abdomen est plus fin, et on compte huit sternites pour le mâle contre six pour la femelle. L'extrémité de l'abdomen est différente car, si le mâle porte deux cerques comme la femelle, on observe, entre ceux-ci, deux styles et l'absence d'oviscapte.

 

 

 Le nom de « mante » provient du latin des naturalistes, mantis (attesté dès Linné en 1735) qui l'ont emprunté au grec Μάντις « prophétesse, devineresse », qui désigne déjà cet insecte chez Théocrite. C'est sans doute son attitude hiératique qui a donné ce nom à cet insecte. La tradition chrétienne a redoublé ce nom en ajoutant l'adjectif « religieuse » en raison de ses pattes antérieures qu’elle replie comme pour prier (quand elle est à l’affût d’une proie). L'appellation provençale de Prie Dieu ou Prega Dieu est également utilisée, de même que Cheval du diable en français cadien.

 

 

Je l'ai transportée tranquillement, avec précaution, sans la brusquer, jusqu'à l'intérieur où je l'ai déposée sur une plante pour mieux l'étudier.

 

 

 

Ses pattes avant, appelées « ravisseuses », portent des piques et sont capables de se replier et se détendre vivement. Elles servent à attraper les proies parfois volumineuses (jusqu'à de petits oiseaux et des chauve-souris, et peuvent parfois faire des blessures plus ou moins importantes à la peau humaine) ou à accrocher la végétation afin de se hisser. Un névroptère, insecte volant aux ailes transparentes, Mantispa styriaca, possède les mêmes pattes avant que la mante. Il est plus petit. De même, un crustacé porte le nom de « crevette-mante » en raison de sa ressemblance morphologique (forme des pinces). Sur la face intérieure des pattes avant, des taches rappellent des yeux. Elle les montre aux agresseurs en écartant ses pattes, quand elle veut effrayer ceux-ci. Dans le même temps, la mante est susceptible d'écarter les ailes plus ou moins largement, et parfois d'aboutir à la position dite "spectrale" avec les ailes dressées et étalées en éventail face à l'adversaire. N'étant pas venimeuse, elle est inoffensive pour les humains (elle peut cependant mordre si on la manipule sans précaution). 

 

Cliquez sur les images pour les agrandir.

 

 

Ses yeux protubérants et très écartés lui donnent une excellente vision en relief (ce qui donne une vision humaine mais jusqu'à 20 m). Contrairement aux autres insectes, la mante peut faire pivoter sa tête à 180 °, ce qui lui permet de suivre les déplacements de ses proies sans bouger le corps. Elle possède deux yeux composés (ou à facettes) et trois ocelles (yeux simples) entre les antennes. Sur ces dernières siège le sens auditif ; des sensilles spécialisées, en l'occurrence mécano-réceptrices, captent les vibrations de l'air produites par le vol d'un insecte. Ces sensilles, dites filiformes, sont d'ailleurs connues chez d'autres orthoptères. On trouve des individus bruns ou verts dans les mêmes lieux. Par leur homochromie, elles peuvent aisément passer inaperçues dans leur milieu ; néanmoins, la concordance avec le substrat semble plus fortuite que délibérée. Ces caractéristiques font de cet insecte un spécialiste de la chasse à l'affût.

 

 

Ci-dessus, elle se nettoie les pattes. 

 

Parfois appelée « le tigre de l'herbe » en raison de ses mœurs voraces, la mante religieuse se nourrit d'insectes vivants qu'elle attrape avec ses pattes avant et immobilise en dévorant parfois d'abord ses ganglions cervicaux puis le reste du corps jusqu'à l'extrémité de l'abdomen. Elle laisse les parties trop dures comme certaines ailes ou pattes. Ses pièces buccales sont de type broyeur, ce qui lui permet de manger très facilement des proies parfois aussi grosses qu’elle. Ses proies sont généralement d'autres insectes comme des criquets, sauterelles, papillons, abeilles, mouches…(wikipedia)

 

 

 

 

Le

"Tigre de l'herbe"

en vidéo

 

Elle dévore une proie que je lui ai offerte en remerciement pour sa participation.

Elle l'a bien méritée!

 

 

Une image tirée du film en cours de montage.

 

 

 

 

 

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Publié le par Micromick
Publié dans : #mante, #mantis, #pattes, #proies, #religieuse

Le nom de « mante » provient du latin des naturalistes, mantis (attesté dès Linné en 1735) qui l'ont emprunté au grec Μάντις « prophétesse, devineresse »

La tradition chrétienne a redoublé ce nom en ajoutant l'adjectif « religieuse » en raison de ses pattes antérieures qu’elle replie comme pour prier.

Ses pattes avant, appelées « ravisseuses », portent des piques et sont capables de se replier et se détendre vivement. Elles servent à attraper les proies parfois volumineuses (jusqu'à de petits oiseaux et des chauve-souris

N'étant pas venimeuse, elle est inoffensive et ne mord pas les humain, à l'inverse des sauterelles et criquets qui peuvent pincer. (Merci Pascale). Ses yeux protubérants et très écartés lui donnent une excellente vision en relief

Parfois appelée « le tigre de l'herbe » en raison de ses mœurs voraces, la mante religieuse se nourrit d'insectes vivants qu'elle attrape avec ses pattes avant et immobilise en dévorant parfois d'abord ses ganglions cervicaux puis le reste du corps jusqu'à l'extrémité de l'abdomen.

Elle laisse les parties trop dures comme certaines ailes ou pattes. Ses pièces buccales sont de type broyeur, ce qui lui permet de manger très facilement des proies parfois aussi grosses qu’elle. Ses proies sont généralement d'autres insectes: criquets, sauterelles, papillons, abeilles, mouches…

En Europe, la mante religieuse devenue adulte s'accouple d'août à octobre. Le mâle, comme tout animal s'approchant d'une mante, se fait parfois dévorer pendant ou après la copulation. Plusieurs accouplements peuvent avoir lieu, mais un seul est nécessaire pour la fécondation. Même après avoir eu la tête coupée, le mâle continue à copuler et transmettre ses spermatozoïdes.(Wikipédia)

 

Voir aussi un précédent article sur la mante ICI

 
Canon EOS 5D Mark III + Canon EF 100mm f/2.8L macro IS USM

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Publié le par Micromick
Publié dans : #araignee, #domestique, #pattes, #tegenaire, #toile

Certains soirs, ce mâle fait une apparition. Je sais, il fait peur et beaucoup en ont les poils qui se dressent.

J'étais arachnophobe également. Depuis que je les observe un peu mieux, je n'en ai plus du tout peur. (On a peur de ce qu'on ne connaît pas)

Il s'est prêté de bonne grâce à quelques séances de photo. Je l'ai même touché avec le bord de l'objectif sans qu'il ne bronche. Bien sûr, les mouvements du photographe doivent être lents. Il ne doit pas se sentir agressé. Je l'ai même fait changer de position en lui frôlant délicatement les pattes avec mon index. Une vraie star!

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La tégénaire domestique vit dans les zones sombres des maisons. Elle se rencontre souvent dans les pièces les plus communes telles que la chambre ou la salle à manger, contrairement à d'autres espèces que l'on trouve plus dans les garages, caves et greniers.

 

Il va son petit bonhomme de chemin en silence à la recherche d'une compagne,

 

 

 

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 sur la pointe des pattes en espérant passer inaperçu car il est très timide.

 

 

 

La femelle tégénaire domestique en revanche, est solitaire et nocturne. Elle vit sur des toiles en formes d'entonnoirs bien cachées qu'elle refait chaque nuit. 

Nous ne la verrons pas ici...

 

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Il lui arrive parfois de sortir de sa toile pour chasser si elle est affamée, mais en général elle chasse les proies qui se trouvent sur sa toile, la faisant ainsi sortir de sa toile pour la mordre puis la porter à sa cachette pour lui injecter des enzymes (qui servent à ramollir la proie, car les araignées ne peuvent pas mâcher) et la dévorer. 

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Cette araignée est inoffensive pour les humains. Elle est même utile en nous débarrassant des petits insectes envahissant comme les mouches ou les moustiques.   

La tégénaire domestique a peu de prédateurs naturels : seule la tégénaire géante (Tegenaria gigantea) ose s'attaquer à elle et parfois d'autres espèces de tégénaires. Elle se nourrit de tout arthropode plus petit qu'elle, mais n'ose pas s'attaquer à un animal d'au moins sa taille.
Elle craint l'araignée pholcus cliquez sur ce lien: (Voir un article précédent).

 Il fait partie de la familles des arachnides (Huit pattes) et non des insectes (Six pattes)

N'hésitez pas à cliquer sur les images, elle ne vous mordra pas!

Qui n'a pas fait la chasse aux "toiles d'araignées" dans une maison et pourtant ces bestioles sont très utiles en détruisant toutes sortes d'insectes en particulier mouches et moucherons; on trouve surtout toute l'année 2 genres de petites araignées à très longues pattes : Pholcus-Holocnemus; dés l'automme, on voit rentrer les grosses araignées femelles de la "Tégénaire domestique" ou "Araignée des maisons" Tegeneria domestica avec ses toiles triangulaires dans l'angle d'une pièce ou d'un placard; les femelles sont cachées dans leurs toiles mais les grands mâles vagabondent sur les sols et murs à la recherche d'une partenaire
(Référence Aramel)

Après avoir enduré une dizaine de mues en deux ans, la tégénaire mâle est sexuellement mature, c'est ainsi que dès la fin du printemps et jusqu'à la mi-automne, après avoir rempli ses bulbes copulateurs de sperme (cf reproduction) , la tégénaire mâle part en quête d'une femelle, c'est à ce moment que l'on commence à bien les remarquer dans nos maisons car bien souvent leurs quêtes les font tomber dans les éviers et baignoires aux rebords si glissants qu'ils y restent coincé jusqu'au matin, contrairement à une idée très répandue, la tégénaire ne vient pas dans nos baignoires en remontant les canalisations, elle ne fait qu'y tomber accidentellement et ce n'est pas lui rendre service que de l'envoyer dans le siphon avec une giclée d'eau, cette brave arachnide inoffensive pour l'homme mérite au contraire nos égards en échange du nombre considérable d'insectes désagréables pour l'homme qu'elle exécute. C'est pourquoi il est conseillé de laisser un linge pendre dans la baignoire et dans l'évier pour leur faciliter la fuite et surtout pour ne pas être réveillé le matin par les hurlements d'effroi de nos dames découvrant l'infortunée. Voir la suite de ce passionnant reportage ici: (Référence)  

Cliquez sur les images pour agrandir

Elle possède huits yeux simples et non pourvus de facettes comme les insectes. J'espère ne pas l'avoir trop ébloui avec mon flash!...

 Matériel utilisé: Canon EOS 7D + Canon EF 100mm f/2.8L macro IS USM + Flash Sigma EM-140 DG
Canon EOS 5D Mark III + Canon MP-E 65mm f/2.8 Macro 1-5x + doubleur + Flash Canon  MT-24EX

 

 

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Publié le par Micromick
Publié dans : #araignees, #femelle, #opilio, #opilions, #pattes

 

 Blog de micromick : MICROCOSMOS, Opilion ( Phangium opilio)

 

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 Blog de micromick : MICROCOSMOS, Opilion ( Phangium opilio)

 

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Boitier Canon EOS 7D, Objectif Canon MP-E 65mm macro
f/2.8 1-5x, Flash annulaire macro Sigma EM-140 DG. Trépied Vangard Alta Pro 283 CT. Glissière Velbon Super Mag Slider

 

On peut admirer ses longs et puissants chélicères côniques bien plus développés que chez la femelle (Voir ici). Cet arachnide n'est pas venimeux. Il se sert de ses pédipalpes pour saisir sa proie. Les chélicères lui servent à les broyer.

Les opilions (Opiliones), mieux connus sous le nom vernaculaire de « faucheurs », « faucheux » ou « faucheuses », appartiennent à la classe des arachnides, tout comme les araignées, les scorpions et les acariens.

Les opilions se distinguent des araignées par le fait que leur abdomen segmenté et leur céphalothorax sont soudés. Ils possèdent quatre paires de pattes qui sont habituellement longues et fines. Le régime alimentaire des opilions s'apparente à celui des araignées (elles sont carnivores) mais ne mordent pas les humains. Contrairement aux araignées, qui ne consomment que le produit de leur chasse, les opilions peuvent se nourrir de cadavres d'insectes et d'autres petits animaux.

Les pattes d'opilions se détachent facilement (l'autotomie) et il est fréquent de rencontrer des individus avec moins de huit pattes.

1 600 genres et 6 400 espèces sont connus répartis entre quatre sous-ordres.(Wikipedia)

 Cliquez sur les images pour agrandir.

 

 

 

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