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Ces petites merveilles qui nous entourent

Ces petites merveilles qui nous entourent

Nature en Auvergne et astronomie.

Publié le par Micromick
Publié dans : #Focus stacking, #jardins, #lilas, #syringa, #vulgaris

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 Cet arbuste très populaire est fréquemment planté dans les jardins d'Europe en raison de ses attrayantes fleurs odorantes, qui apparaissent au milieu du printemps, juste avant que la plupart des roses et d'autres fleurs d'été entrent en floraison.

Deux lilas (Syringa vulgaris et S. x persica, désormais considéré comme un hybride naturel) ont été introduits dans les jardins européens à la fin du XVIe siècle, depuis les jardins ottomans. L'ambassadeur du Saint-Empire, Ogier Ghislain de Busbecq, aurait ramené du lilas à Carolus Clusius vers 1562. Des botanistes bien informés, comme le grand herboriste John Gerard, récupèrent alors la rareté dans leurs jardins: Gerard note alors qu'il avait des lilas poussant "en très grande abondance" en 1597. John Loudon est d'avis que le lilas a été introduit dans les jardins anglais par John Tradescant l'Ancien.

Plus d'informations ICI  

 

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 Comme la plupart des Oleaceae, les pétales, au nombre de 4, sont soudés entre eux.

 

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 Les étamines (recouvertes de grains de pollen) sont au nombre de 2.

L’ovaire est supère  et constitué de 2 carpelles. La placentation est axile .

Les fruits sont des baies 

(Cliquez sur les mots/liens en vert)

 

Les macrophotos sont réalisées au Canon EOS 5D Mark III et objectif MP-E 65mm

selon la méthode du focus-stacking   (Empilement de photos) assemblées avec Zerene Stacker.

 

 

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Publié le par Micromick
Publié dans : #étamines, #jardin, #macrophoto, #pistil, #pollen, #tulipe

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Le genre Tulipa, voisin du lys, appartient à la famille des Liliacées. Il compte une centaine d’espèces et plus de 2000 cultivars !! La tulipe est l’une des premières cultures mondiales, aussi bien en fleurs coupées qu’en bulbes.

 

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 Les espèces botaniques sont originaires d’Asie mineure et centrale tandis que les espèces horticoles sont issues des quatre coins du globe. Seules les variétés botaniques sont capables de s’établir durablement dans un jardin.

 

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 Chez certaines espèces, il peut y avoir autopollinisation et donc autofécondation... à la condition que les deux sortes de cellules reproductrices puissent se rencontrer, les étamines ne doivent pas être trop éloignées du pistil, et que les organes reproducteurs mâles et femelles arrivent à maturité en même temps. C'est cependant la fécondation croisée qui est la plus fréquente : c'est le pollen d'une autre fleur de la même espèce qui se dépose sur le pistil.

 

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 Sommet du pistil recouvert de grains de pollen

 

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Étamine productrice de pollen destiné au pistil pour la fécondation. Il sera transporté par les insectes pollinisateurs

 

 

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La reproduction de la tulipe se fait par la fécondation d'un ovule qui se trouve dans le pistil, par un pollen produit par les étamines

 

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Ces macrophotos sont réalisées au Canon EOS 5D Mark III et objectif MP-E 65mm

selon la méthode du focus-stacking   (Empilement de photos) assemblées avec Zerene Stacker.

Une série de 4 vidéos de Stephane Guy  peut vous aider dans l'utilisation de Zerene Stacker

 

Originaire d'Iran, d'Afghanistan, la tulipe était cultivée au Moyen Orient depuis le XIIIème siècle.

Introduite en Europe au XVIème siècle par l'ambassadeur d'Autriche auprès de Soliman le Magnifique, Augier Ghislain de Busbecq,(1522-1591) elle fleurit pour la première fois dans un jardin d'Augsbourg en 1559. A moins que ce ne soit l'humaniste français Pierre Belon (1517-1565) qui la ramena d'un voyage entrepris vers 1545 en Asie Mineure.

Quoi qu'il en soit, cette nouvelle fleur attire l'attention de Charles de L'Ecluse, grand voyageur et herboriste, (1526-1609) appelé à Vienne en 1573 pour diriger les jardins impériaux où il est le premier à cultiver une importante collection de tulipes. Il emmène avec lui ces fleurs à Leiden aux Pays Bas en 1593, lorsqu'il prend en charge le jardin Botanique de l'université de la ville. La fleur en exil s'acclimate, trouve des amateurs au sud de Haarlem, et devient l'objet d'une véritable passion collective. Le prix des bulbes atteint des proportions extraordinaires. Un bulbe se vend en moyenne 40 fois le salaire d'un ouvrier, mais il peut atteindre 5000 florins soit le prix d'une petite maison bourgeoise. La plante devient une monnaie parallèle. Objet de vénération, on la représente sur des carreaux de faïence, comme celle-ci qui date de 1625.  Les prix flambent entre 1634 et 1637 : c'est la « tulipomania », auquel le gouvernement des états de Hollande met un point final en régularisant le marché. A la fin du XVIIème siècle, le goût de la tulipe fit place à la jacinthe, introduite entretemps ainsi que les glaÏeuls.

Aujourd'hui, l'horticulture s'est développée au Pays Bas . La culture de la tulipe et des fleurs à bulbes se pratiquent toujours en arrière du cordon dunaire, sur des terrains sableux qui lui sont favorables, entre Leiden et Haarlem.  

 

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Publié le par Micromick
Publié dans : #Chroma-key, #fleur, #macro, #persica, #plante, #veronica, #veronique

Plante de petite taille, les feuilles supérieures sont alternes. 

 

Floraison surtout printanière (dès le mois de février), plus rarement en été et en automne.

 

Fleurs hermaphrodites espacées de 8 à 15 mm, solitaires à l'aisselle des feuilles (parfois en grappe pauciflore) , à l'extrémité de pédoncules axillaires filiformes, ces pédicelles étant un à trois plus longs que les feuilles, à la fin arqués-réfléchis. Calice à quatre sépales ovales ou lancéolés. Corolle gamopétale à quatre pétales bleu clair striés, dépassant le calice à 4 lobes divariqués deux à deux, lancéolés, à peine ciliés. Le pétale inférieur est plus étroit et plus pâle que les autres (souvent blanchâtre), le pétale supérieur, au contraire, est légèrement plus large. Deux étamines. Ovaire à deux carpelles. Style de de 1,5 à 3 mm, filiforme persistant sur le fruit, rose, aussi long ou plus long que les étamines. Pollinisation : entomogame ou autogame

 

Véronique (Veronica persica)

 

La classification classique place les véroniques dans l'ordre des Scrophulariales et dans la famille des Scrophulariacées ; la classification APG II les situe dans l'ordre des Lamiales et dans la famille des Plantaginacées.

La plante doit son nom à sainte Véronique, qui aurait recueilli un linge portant les traits du Christ et aurait, grâce à ce linge, guéri l'empereur Tibère de la lèpre. Or, la véronique officinale (Veronica officinalis) était utilisée autrefois en application sur les plaies des lépreux (d'où son nom familier d'herbe-aux-ladres). Pierre Fournier rapporte dans Les quatre flores de France que la fleur des véroniques était comparée au Moyen Âge à l'empreinte du Christ (verum icon, « vraie image ») car elle dessinait un visage rudimentaire avec les 2 anthères figurant les yeux.(Wikipédia)

 

Les macro-photos sont faites en studio au Canon 5D Mark III  avec objectif MP-E 65mm en "focus stacking" sur fond vert puis incrustées en post-traitement par la méthode du "Chroma Key" dans un fond extérieur réalisé au Canon 7D objectif  Canon 24-70 f/2.8

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Publié le par Micromick
Publié dans : #cerisier, #étamines, #fleur, #Focus stacking, #pistil, #pollinisation

 

 

 

La faune d'insectes sauvages et d'abeilles vagabondes est suffisamment abondante au jardin pour assurer la pollinisation des récoltes.

Quoique d'année en année, de moins en moins de visiteurs...

Les principales raisons

Elles sont multiples et s'entretiennent les unes les autres: dérèglements climatiques, nouveaux virus et agents pathogènes, acariens (varroa destructor), parasites (nosema ceranae), disparition des habitats naturels liée aux monocultures, et bien évidemment traitements phytosanitaires.

Voir Greenpeace France: Le déclin des abeilles.

 

 

 

 

 Cliquez sur les images pour les visionner en 1800 x1200 pixels

 

Le cerisier fait partie des plantes "Entomophile"

Entomophilie

Caractéristique d'une plante qui se fait polliniser par l'intermédiaire d'un insecte. Les Angiospermes utilisent principalement ce type de pollinisation

Voir ici les différents moyens de pollinisation.

 

 

La fleur du cerisier est constituée de pétales, d’étamines avec les sacs polliniques (contenant des cellules reproductrices mâles), et un pistil avec les ovaires (contenant des cellules reproductrices femelles)

 

 

 

Les cerisier, les pommiers, les châtaigniers, font partie des plantes auto stériles. C'est à dire que si vous plantez un arbre d'une variété donnée, vous devez obligatoirement planter dans son voisinage un arbre d'une variété différente pour permettre la pollinisation et récolter des fruits 

 

 

Les macro-photos sont faites au Canon 5D Mark III  avec objectif MP-E 65mm en "focus stacking"

Les pollinisateurs transportent dans leur fourrure, les grains de pollen accumulés au bout des étamines, pour les mettre en contact avec le pistil des fleurs d'un cerisier d'une variété différente. 

  Pour la fleur d'un cerisier Burlat par exemple, le pollen d'un autre cerisier Burlat n'est pas perçu comme venant d'une arbre différent. (Pour en savoir plus c'est ICI)

 

 

 

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Publié le par Micromick

Elles côtoient sans complexe les Pâquerettes

Elle peuvent être blanche aussi

 

 

Violette odorante (Viola odorata)

 

famille : Violacea.


catégorie : vivace à court et épais rhizome marron clair pourvu de radicelles, à tiges rampantes et nombreux stolons.


port : touffe en rosette évasée.


feuillage : semi-persistant, vert moyen, glauque aux nervures marquées et poilu. Petites feuilles ovales à cordiformes, convexes à marge crénelée pourvues d'un long pétiole stipulé.


floraison : parfumée de la fin de l'hiver au début du printemps, courant février-mars, courant mais il peut y avoir une seconde floraison plus courte en taille. Petites corolles de ± 15mm


couleur : divers tons de bleu, blanc pour les hybrides jaune et rose.


fructification : petites capsules coniques duveteuses déhiscentes qui projettent de nombreuses graines
croissance : rapide
hauteur : 0.15 à 0.20m (Source)

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