J'ai reçu ce diaporama Power-point. Il rappellera sûrement des souvenirs à beaucoup d'entre vous.

Moi, j'avais la "Mobylette bleue" et encore, je n'avais même pas d'amortisseur arrière...

Ma première voiture fût une Dauphine noire et bien plus tard, une 2cv grise.

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Malheureusement, des congères bloquaient l'entrée du parking des Goules

Point de départ de quelques belles randonnées. Voir ICI et LA

Obligeant à garer le camping-car le long de la route D941.

Par endroits, les pas s'enfoncent de près de 20 centimètres dans la neige avec ce crissement caractéristique.

Il aurait fallu des raquettes!

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Cette femelle mesure entre 12 et 15 mm, le mâle entre 8 et 10 mm. Le céphalothorax de la femelle est vert sombre alors que son abdomen est vert jaune vif avec une tache cardiaque plus sombre. Les yeux sont cerclés de poils blancs.

Elle m'observe entre ses pattes antérieures qui cachent son thorax.

 _Pff! Jamais tranquille...

Cette espèce ne tisse pas de toile et chasse les insectes dans la végétation où son camouflage est parfait. On la trouve dans les buissons, les endroits humides et abrités mais aussi dans la canopée.

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Très reconnaissable à la croix blanche qui décore la face dorsale de son abdomen,

on l’appelle épeire diadème ou araignée porte-croix.

Dès qu’une proie est capturée, l’araignée l’enveloppe dans un cocon de soie et lui injecte des sucs digestifs. Ces derniers permettent de dissoudre sa proie, que l’araignée n’aura plus qu’à ingérer par la suite.

Lorsque la toile est abimée, l’épeire ingère l’ancienne toile (rien ne se perd) afin d’en bâtir une nouvelle.

Comportement : L’épeire diadème est une araignée orbitèle c’est à dire qui construit une large toile très régulière. Celle-ci mesure 40 cm et jusqu’à 1 m parfois, l’épeire la construit en une heure environ, et selon J.H.Fabre, elle la reconstruit chaque matin. (Selon des personnes qui on pu observer leur comportement régulièrement, elle ne la reconstruit que chaque semaine en se contentant de la réparer chaque jour au besoin)   L’épeire diadème se tient le plus souvent au centre de sa toile, la tête vers le bas, les 2 premières paires de pattes groupées et étendues vers l’avant, la troisième à peu près horizontale, et la quatrième vers l’arrière. On la trouve aussi très souvent cachée sous une feuille à proximité de la toile, un fil la renseigne alors lorsqu’une proie s’est laissée prendre.(Source)

 Ici, une autre épeire avec des détails plus grossis.

Galerie des araignée ICI

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_On se caille les sabots!