Fleurs en juillet.

C’est une plante dite « à papillons » ou mellifère, car elle produit un suc odorant qui attire les pollinisateurs.

Les fleurs, roses et agréablement parfumées de vanille-miel, apparaissent en été. Elles sont parfaites comme fleurs coupées 

Cliquez sur l'image. Vous comprendrez mieux pourquoi on l'appelle herbe aux perruches...  (C'est un montage !)

A la fin de l'hiver, le fruit libère de nombreuses graines, aussi appelées akènes à pappus (ou soies), doux et nacrés. (Source)

Un précédent article sur une punaise qu'on trouve sur l'Asclépiade ICI

Et sur les pucerons qui l’envahissent ICI 

Sur ce petit chemin assez fréquenté l'été, un bébé a lâché sa sucette... 

Une âme charitable l'a soigneusement mise en évidence.

Je ne pense pas que les parents reviennent à sa recherche...

La végétation prépare ses habits d'automne...

Ici pas d'engrais chimique. Le bon vieux fumier attend d'être épandu.

Je désespérais de voir au moins un insecte. Mais, en regardant bien...

Un papillon Vulcain, explorait une vieille fleur de chardon.

Il tente de grappiller encore quelques réserves, avant d'entamer son vol migratoire.

Me laissant admirer sa face dorsale.

Puis sa face ventrale.

Le Vulcain (Vanessa Atlanta) est un cas d’espèce dans la fratrie des papillons diurnes. Ce nymphalidé fait partie des migrateurs qui arrivent au printemps et qui nous quittent à la fin de l’été. Que se passe-t-il entre ces deux périodes ? D’où vient ce papillon migrateur et où part-il ? 

Je vous laisse découvrir la suite sur cet excellent article de fontainebleau-blog

Un précédent article sur le Vulcain à voir ou à revoir ICI

Au loin, à 2,5km, le volcan Puy de Dôme (1 465 m) qui a donné son nom au département. Voir plus d'infos sur Wikipedia

Toutes ces photos ont été réalisées au bridge Canon PowerShot SX60 HS

Cliquez pour ouvrir pleine page.

J'ai utilisé le Canon 7D avec objectif 150-600 Tamron (équivalent 225-900 mm) + le doubleur Kenko Teleplus Pro 300 DGX 

Le tout sur trépied stable et télécommande pour éviter le bougé. 

Bien sûr, stabilisateur optique débrayé pour toute photo faite au trépied. Voir les explications ICI

Au grossissement maxi, le grain est visible à cause de la monté en ISO à 800.

Je voulais une vitesse rapide à cause du vent.

Le Vulcain est un papillon de taille moyenne à grande, très reconnaissable, de couleur foncée, marron à noir profond agrémenté d'un motif en 3/4 de cercle orange à rouge vif, formé par une bande transversale sur les ailes antérieures et une frange sur les ailes postérieures. 

Son envergure varie et peut atteindre 64 mm. 

Le revers est sombre avec sur les ailes antérieures une bande rouge, une bande blanche et un motif bleu.

L'Ortie dioïque (Urtica dioica) est la plante hôte de ses larves.

Poil aux yeux... 

Le nectar des fleurs est la nourriture principale du vulcain. Les fleurs les plus appréciées du vulcain sont celles de la famille des composées.

On les voit souvent se nourrir sur les buddleias, les marguerites, les artichauts et bien d'autres fleurs.

De plus, les vulcains se nourrissent aussi du jus de fruits tombés au sol comme les pommes, les poires. 

(Et apparemment, il ne dédaigne pas mes tomates)

Lors de journées ensoleillées, il sort se chauffer et peut être vu dès février. (Wikipédia) 

En duo d'amoureux pour le dîner.  

Tomate, riz, œuf dur, maïs, poivron,

Pour l'assaisonnement, mélange d'herbes provençales moulues et vinaigrette à l'huile de sésame soja. Pas de poivre...

A déguster avec une tranche de pain complet fait à la maison.