Ces petites merveilles qui nous entourent
Nature en Auvergne et astronomie.
Après le passage des moutons, il ne reste presque plus rien!...
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Quelques groupes de violettes ont résisté.
Des feuilles de trêfle recueillent la rosée pour abreuver...
Le petit peuple de l'herbe.
Criquet (Non déterminé)
Le Crache-sang, Timarque ou Chrysomèle noire (Timarcha tenebricosa) Cliquez
La vie continue...
Matériel utilisé: Panasonic Lumix DMC-FZ150 + Bonnette macro.
APN Canon EOS 7D + Canon EF 100mm macro + Flash annulaire Sigma EM-140 DG
En Auvergne, près du Volcan endormi le Puy-de Dôme, les arbustes Buddléia attirent toutes sortes de papillons. Ennivrés de nectar, ils ne craignent pas le photographe. Le Moro Sphinx ne fait pas exception. Mais il ne tient pas en place!
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Le Moro sphinx ou Sphinx colibri ou Sphinx du caille-lait (Macroglossum stellatarum), est un insecte appartenant à l'ordre des lépidoptères, à la famille des Sphingidae, à la sous-famille des Macroglossinae.
C'est une des rares espèces diurnes de sa famille (avec le Sphinx fuciforme ou Sphinx gazé, Hemaris fuciformis L. et le Sphinx bombyliforme, Hemaris tityus L. ; ces 2 espèces étant moins fréquentes en France).
C'est un petit Sphingidae marron beige au corps trapu. Le Moro sphinx possède une très longue trompe pour butiner les fleurs, souvent violettes, bleues ou blanches, en vol stationnaire à la manière des oiseaux-mouches. Il butine généralement le nectar des fleurs que les autres insectes ne peuvent atteindre. Il affectionne les sauges, les lavandes.(Wikipédia)
Un autre article plus récent Ici
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La mouche verte, (Lucilia sericata), diptère de la famille des Calliphoridae, est une mouche relativement commune dans la plupart des régions du monde.
La larve de cette mouche joue un rôle important pour l’élimination des cadavres.
Les adultes sont pollinisateurs de fleurs qui les attirent par leur odeur de charogne, dont la papaye.
(Voir plus d'infos sur Wikipédia)
Détails du train d'atterrissage...
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Ce gros plan d’un œil composé, chez la mouche, montre une multitude de facettes. Chacune consiste en une lentille qui focalise la lumière sur un capteur individuel, l’ommatidie. Là, elle pénètre un cône cristallin qui la dirige vers un bouquet de cellules pigmentées, sensibles à différentes longueurs d’onde – et donc couleurs – de la lumière. Les fibres nerveuses de chaque ommatidie, rassemblées en un nerf optique, acheminent l’information vers le cerveau de l’insecte, où l’image recueillie est interprétée. (Source)
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Août 2011, premiers essais avec l'excellent objectif macro Canon MP-E65mm monté sur l'APN Canon EOS 7D
Je coince un petit bout de viande rotie au coin d'une bûche, comme pour la goutte de miel et la fourmi, ( Voir ICI ) je compte sur l'odorat développé d'une guêpe et j'attend... Pas longtemps!
Je n'avais pas encore le flash Macro MT-24 EX Canon. Le flash annulaire Sigma EM-140 DG bien moins cher fera l'affaire. (Le Nikon D300 a été utilisé pour photographier le Canon 7D en action)
La Guêpe commune, ou Vespula vulgaris, est une guêpe très proche de la Vespula germanica. Son aire de répartition naturelle est l'Eurasie (où elle a localement régressé), mais elle a été introduite dans l'hémisphère sud en Australie et Nouvelle-Zélande1 où elle se comporte localement en espèce très invasive
En tant que petit prédateur, au sein de l'écosystème, les guêpes autochtones jouent un rôle important dans le contrôle (régulation) naturel des populations d'insectes capables de se reproduire rapidement et abondement (mouches et papillons notamment).
Elles pourraient à ce titre jouer un rôle important (service écosystémique) pour la gestion forestière et la protection des cultures contre les larves ou adultes d'un grand nombre d'espèces dites nuisibles à certaines activités humaines, mais pour la lutte biologique on leur préfère généralement des espèces plus spécialisée et surtout plus petites et ne piquant pas les humains.
La guêpe commune est une espèce prédatrice d'autres insectes (mouches, papillons, coléoptères...) ou de leurs larves (chenilles notamment) qu'elles chassent pour alimenter leurs larves (jusqu'à plus de 10 000 par colonie). Parfois elles "volent" leurs provisions à des araignées. (Cliquez pour en savoir plus Wikipédia)
Les guêpes communes sont agressives si on les dérange. Sinon, il n'y a aucun danger. Restez calme.
Une fois, une guêpe s'est posée sur une lèvre de ma fille Mélody. Sans paniquer, elle a attendu bravement, jusqu'a ce qu'elle s'envole tranquillement, sa curiosité satisfaite.
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Une petite vidéo qui fait suite à l'article précédent.
Elle se régale d'une goutte de miel
Matériel utilisé;
Canon EOS 7D + Canon MP-E 65mm f/2.8 Macro 1-5x